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Neurologie

Par: Marie VIDAILHET, AIHP 1985 - PU-PH

Les troubles neurologiques fonctionnels

Publié le : 25/06/2023

Les troubles neurologiques fonctionnels (TNF) doivent être distingués des autres troubles neurologiques dont les mécanismes, les étiologies, la prise en charge diagnostique et les traitements sont différents.

Prise en charge et avancées thérapeutiques dans la maladie de Parkinson

Publié le : 01/06/2013

La maladie de Parkinson (MP) est une affection fréquente touchant plus de 1 % de la population âgée de plus de 60 ans. Cela représente environ 150 000 maladies en France.

Par: Bertrand DEGOS, PU-PH

Les troubles neurologiques fonctionnels

Publié le : 25/06/2023

Les troubles neurologiques fonctionnels (TNF) doivent être distingués des autres troubles neurologiques dont les mécanismes, les étiologies, la prise en charge diagnostique et les traitements sont différents.

Par: Béatrice GARCIN, AIHP 2004 - MCU-PH

Les troubles neurologiques fonctionnels

Publié le : 25/06/2023

Les troubles neurologiques fonctionnels (TNF) doivent être distingués des autres troubles neurologiques dont les mécanismes, les étiologies, la prise en charge diagnostique et les traitements sont différents.

Neurogénétique : Maladie de Huntington

Publié le : 25/05/2023

La maladie de Huntington est une maladie neurologique rare (de transmission autosomique dominante) dont la cause majeure est une expansion d’un trinucléotide CAG dans le premier exon du gène HTT. Elle est caractérisée par des troubles psychiatriques, cognitifs et comportementaux, ainsi que des mouvements choréiques et postures dystoniques. 

Neurogénétique : Maladies rares et analyses génétiques

Publié le : 25/05/2023

La neurogénétique couvre les diagnostics génétiques de maladies neurologiques rares faisant partie d’un cadre nosologique large, comme les ataxies cérébelleuses et les paraparésies spastiques héréditaire, qui sont sous tendues par des mutations dans de nombreux gènes.

Avancées significatives pour le traitement de fond de la migraine

Publié le : 25/05/2023

La migraine est une pathologie invalidante : en 2016, elle était la deuxième cause d'invalidité dans le monde 1. La fréquence et la sévérité des crises conditionnent le handicap.
En France, en population adulte, la prévalence de la migraine est estimée entre 17 et 20 % de la population2,3. L’impact socio-économique est important: une population globalement jeune et active est touchée entraînant absentéisme et perte de productivité 4,5.

Par: Sonia ALAMOWITCH, AIHP 1991 - PU-PH

Accidents vasculaires cérébraux

Publié le : 25/05/2023

Depuis près de 25 ans, la thrombolyse intraveineuse par alteplase (rt-pa) s’est imposée comme la première grande révol ution thérapeutique dans l’infarctus cérébral en phase aiguë dans les 4h30 suivant l’installation des symptômes. Les cinq de rnières années ont é té marquées par des progrès considérables dans l’approche diagnostique et thérapeutique des accid ents ischémiques cérébrauxet des hémorragies intra-cérébrales.

Par: Gaëlle BRUNETEAU, AIHP 1997

Le Tofersen : la première thérapie génique disponible dans la Sclérose Latérale Amyotrophique

Publié le : 25/05/2023

5 à 10 % des patients atteints de Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA ou maladie de Charcot) rapportent une histoire familiale de la maladie.

Par: Adèle HESTERS, AIHP 2013

Le Tofersen : la première thérapie génique disponible dans la Sclérose Latérale Amyotrophique

Publié le : 25/05/2023

5 à 10 % des patients atteints de Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA ou maladie de Charcot) rapportent une histoire familiale de la maladie.

Par: Philippe RéMY, AIHP 1977 - Pu-PH

Syndromes parkinsoniens, essais thérapeutiques

Publié le : 25/05/2023

Le traitement symptomatique de la maladie de Parkinson repose toujours principalement sur les agents dopaminergiques, et les développements récents se sont essentiellement focalisés sur des modalités d’administration de ces produits (sublinguale, inhalée, sous-cutanée, intra-jéjunale, intra-cérébrale), voire la possibilité de faire fabriquer directement de la dopamine dans le cerveau des malades évolués par thérapie génique.

Par: Louise-Laure MARIANI, AIHP 2007 - PU-PH

Syndromes parkinsoniens, essais thérapeutiques

Publié le : 25/05/2023

Le traitement symptomatique de la maladie de Parkinson repose toujours principalement sur les agents dopaminergiques, et les développements récents se sont essentiellement focalisés sur des modalités d’administration de ces produits (sublinguale, inhalée, sous-cutanée, intra-jéjunale, intra-cérébrale), voire la possibilité de faire fabriquer directement de la dopamine dans le cerveau des malades évolués par thérapie génique.

Par: Claire PAQUET, PU-PH

Alzheimer - Biomarqueurs et essais anti-amyloïde

Publié le : 25/05/2023

Ces dernières décennies, la maladie d'Alzheimer a connu un bouleversement grâce aux biomarqueurs, qui ont redéfini l'approche diagnostique et le cadre nosographique. L'arrivée imminente de biomarqueurs plasmatiques promet de révolutionner nos pratiques diagnostiques. Les récents résultats positifs d’immunothérapies anti-Aβ ouvrent également la possibilité d’un traitement de fond à instaurer au stade précoce.

Par: Nicolas VILLAIN, AIHP 2012 - PH

Alzheimer - Biomarqueurs et essais anti-amyloïde

Publié le : 25/05/2023

Ces dernières décennies, la maladie d'Alzheimer a connu un bouleversement grâce aux biomarqueurs, qui ont redéfini l'approche diagnostique et le cadre nosographique. L'arrivée imminente de biomarqueurs plasmatiques promet de révolutionner nos pratiques diagnostiques. Les récents résultats positifs d’immunothérapies anti-Aβ ouvrent également la possibilité d’un traitement de fond à instaurer au stade précoce.

Neurogénétique : Maladie de Huntington

Publié le : 25/05/2023

La maladie de Huntington est une maladie neurologique rare (de transmission autosomique dominante) dont la cause majeure est une expansion d’un trinucléotide CAG dans le premier exon du gène HTT. Elle est caractérisée par des troubles psychiatriques, cognitifs et comportementaux, ainsi que des mouvements choréiques et postures dystoniques. 

Par: Bruno STANKOFF, AIHP 1991 - PU-PH

La sclérose en plaques en 2023

Publié le : 25/05/2023

La sclérose en plaques (SEP) est une pathologie du système nerveux central à multiples facettes : maladie inflammatoire dysimmunitaire, démyélinisante avec toutefois un potentiel de remyélinisation hétérogène, et neurodégénérative. Là où les causes de la maladie restent mystérieuses, mais la mise en évidence d’un sur-risque lié au virus EBV a relancé les recherches sur les facteurs environnementaux.

Sclérose en plaques : avancées thérapeutiques

Publié le : 01/09/2016

Depuis 1993 avec le premier traitement par interféron-b approuvé dans la sclérose en plaques (SEP), l'arsenal thérapeutique s'est largement étoffé en particulier sur la dernière décennie.

Les traitements de fond de la sclérose en plaques

Publié le : 01/03/2010

Depuis une quinzaine d'années, la prise en charge thérapeutique de la SEP a été considérablement modifiée et il est vraisemblable que les cinq prochaines années soient de nouveau marquées par un enrichissement important de notre arsenal thérapeutique. Cette affirmation enthousiaste doit cependant être tempérée, l'immense majorité des développements thérapeutiques en cours ayant pour objectif commun de lutter contre l'inflammation auto-immune périphérique (en dehors du système nerveux central). Il est cependant clair qu'une partie (la majeure partie ?) du handicap neurologique qui s'accumule au cours de la maladie, en particulier lors des phases progressives, n'est pas directement une conséquence de l'auto-immunité périphérique, mais implique des mécanismes de neuro-inflammation autonome confinée au SNC et/ou des mécanismes neurodégénératifs. L'avenir thérapeutique de cette maladie passera donc nécessairement par le développement de traitement ciblant ces mécanismes, perspectives non clairement accessible à court terme.

Par: Anne-Catherine BACHOUD-LéVI, AIHP 1987 - PU-PH

Neurogénétique : Maladie de Huntington

Publié le : 25/05/2023

La maladie de Huntington est une maladie neurologique rare (de transmission autosomique dominante) dont la cause majeure est une expansion d’un trinucléotide CAG dans le premier exon du gène HTT. Elle est caractérisée par des troubles psychiatriques, cognitifs et comportementaux, ainsi que des mouvements choréiques et postures dystoniques. 

Neurogénétique : Maladies rares et analyses génétiques

Publié le : 25/05/2023

La neurogénétique couvre les diagnostics génétiques de maladies neurologiques rares faisant partie d’un cadre nosologique large, comme les ataxies cérébelleuses et les paraparésies spastiques héréditaire, qui sont sous tendues par des mutations dans de nombreux gènes.

Neurogénétique : Maladies rares et analyses génétiques

Publié le : 25/05/2023

La neurogénétique couvre les diagnostics génétiques de maladies neurologiques rares faisant partie d’un cadre nosologique large, comme les ataxies cérébelleuses et les paraparésies spastiques héréditaire, qui sont sous tendues par des mutations dans de nombreux gènes.

Myologie et maladies métaboliques, les thérapies ciblées

Publié le : 25/05/2023

Les pathologies neuromusculaires sont un domaine où l'innovation est permanente, tant sur le plan diagnostique que thérapeutique.

Myologie et maladies métaboliques, les thérapies ciblées

Publié le : 25/05/2023

Les pathologies neuromusculaires sont un domaine où l'innovation est permanente, tant sur le plan diagnostique que thérapeutique.

Par: Antoine CARPENTIER, AIHP 1989 - PU-PH

Neuro-oncologie

Publié le : 25/05/2023

La neuro-oncologie est une jeune discipline pluridisciplinaire aux confins de la neurologie et de l’oncologie, et qui est amenée à se développer rapidement avec l’essor des neurosciences et des nouveaux traitements anticancéreux.

Par: Khê HOANG-XUAN, AIHP 1987 - PU-PH

Neuro-oncologie

Publié le : 25/05/2023

La neuro-oncologie est une jeune discipline pluridisciplinaire aux confins de la neurologie et de l’oncologie, et qui est amenée à se développer rapidement avec l’essor des neurosciences et des nouveaux traitements anticancéreux.

Par: Clémence BLANC, AIHP 2016

Accidents vasculaires cérébraux

Publié le : 25/05/2023

Depuis près de 25 ans, la thrombolyse intraveineuse par alteplase (rt-pa) s’est imposée comme la première grande révol ution thérapeutique dans l’infarctus cérébral en phase aiguë dans les 4h30 suivant l’installation des symptômes. Les cinq de rnières années ont é té marquées par des progrès considérables dans l’approche diagnostique et thérapeutique des accid ents ischémiques cérébrauxet des hémorragies intra-cérébrales.

Par: Céline LOUAPRE, AIHP 2003

La sclérose en plaques en 2023

Publié le : 25/05/2023

La sclérose en plaques (SEP) est une pathologie du système nerveux central à multiples facettes : maladie inflammatoire dysimmunitaire, démyélinisante avec toutefois un potentiel de remyélinisation hétérogène, et neurodégénérative. Là où les causes de la maladie restent mystérieuses, mais la mise en évidence d’un sur-risque lié au virus EBV a relancé les recherches sur les facteurs environnementaux.

Sclérose en plaques : avancées thérapeutiques

Publié le : 01/09/2016

Depuis 1993 avec le premier traitement par interféron-b approuvé dans la sclérose en plaques (SEP), l'arsenal thérapeutique s'est largement étoffé en particulier sur la dernière décennie.

Par: Sophie DUPONT, AIHP 1992 - PU-PH

Actualités thérapeutiques dans l’épilepsie en 2023

Publié le : 25/05/2023

Dans le domaine de l’épilepsie, plusieurs actualiés thérapeutiques voient le jour tant dans le domaine pharmacologique que des technologies chirurgicales.

Classification et traitement des épilepsies

Publié le : 01/09/2019

En 1981, la Ligue Internationale contre l'Epilepsie (ILAE) proposait, dans la continuation des travaux de l'école de Gastaut, une classification des crises d'épilepsie distinguant les crises généralisées des crises partielles sur des critères cliniques et électroencéphalographiques.

Par: Caroline ROOS, AIHP 1994 - PU-PH

Avancées significatives pour le traitement de fond de la migraine

Publié le : 25/05/2023

La migraine est une pathologie invalidante : en 2016, elle était la deuxième cause d'invalidité dans le monde 1. La fréquence et la sévérité des crises conditionnent le handicap.
En France, en population adulte, la prévalence de la migraine est estimée entre 17 et 20 % de la population2,3. L’impact socio-économique est important: une population globalement jeune et active est touchée entraînant absentéisme et perte de productivité 4,5.

La Migraine : sur-spécialité du Neurologue

Publié le : 01/09/2019

La migraine est une pathologie chronique évoluant par crises récurrentes, espacées par des intervalles libres de crises. On parle de migraine épisodique ou de migraine chronique (1 à 6 %) en fonction de la fréquence des crises (Lipton, Manack Adams et al. 2016). La prévalence de la migraine est estimée entre 10 et 14 % en fonction des pays, et si l'on considère le diagnostic de migraine probable, ne réunissant pas tous les critères, la prévalence augmente jusqu'à 20 % (Disease, Injury et al. 2017).

Par: Jean-Christophe CORVOL, AIHP 1995 - PU-PH

Édito - La neurologie : une spécialité en plein renouveau !

Publié le : 25/04/2023

La Neurologie connait aujourd’hui un renouveau majeur grâce aux progrès en neurosciences fondamentales et aux avancées technologiques. Des innovations importantes et transformantes ont ainsi eu lieu ces dix dernières années qui se traduisent progressivement en de nouveaux outils diagnostiques et thérapeutiques pour les patients. Ces progrès sont liés à la conjonction d’une meilleure connaissance des mécanismes des maladies, la découverte de marqueurs biologiques ou d’imagerie, et au développement de médicaments innovants.

Par: Jean-louis MAS, Professeur Jean-louis Mas

Présentation du dossier Neurologie N°97

Publié le : 01/09/2019

Le temps où la neurologie était considérée comme une spécialité « contemplative » est bel et bien révolu. En un quart de siècle, d'importantes avancées ont été réalisées dans la compréhension des maladies du système nerveux, aboutissant pour certaines d'entre elles à des avancées thérapeutiques spectaculaires, permettant une amélioration de l'espérance et/ou de la qualité́ de vie des patients. C'est le cas, par exemple, des accidents vasculaires cérébraux, de la sclérose en plaques, de la maladie de Parkinson, de l'épilepsie ou de la migraine. Grâce aux progrès des neurosciences, on peut s'attendre à disposer, dans un proche avenir, de traitements de maladies neurologiques actuellement incurables, comme la maladie d'Alzheimer, la sclérose latérale amyotrophique ou le glioblastome, pour ne citer que les plus fréquentes et les plus graves.

Par: Damien LEGER, (AIHP 1985) AP-HP, Centre de vigilance et de trouble du sommeil, Hôtel-Dieu, Paris - Faculté de Médecine Paris Descartes.

L'insomnie en 2019

Publié le : 01/09/2019

Pour mieux connaître le sommeil des français nous réalisons depuis plus de 15 ans des enquêtes régulières dans des grands groupes et cohortes de la population française en reprenant les mêmes questions qui nous permettent de suivre comme avec un baromètre le sommeil des français. Les résultats que nous obtenons nous inquiètent. Car à coté des troubles du sommeil très fréquents : insomnie, apnées du sommeil, somnolence, nous observons que de plus en plus de français ne dorment pas suffisamment.

Par: David ADAMS, AIHP 1984 - PU-PH

Les atteintes Neurologiques dans l'amylose héréditaire à transthyrétine (ATTRh) - un exemple de progrès médical

Publié le : 01/09/2019

Les neuropathies amyloides familiales à transthyrétine sont dues à la présence de dépôts de substance amyloïde à l'intérieur du système nerveux périphérique (endonèvre) ; elles sont liées à une mutation du gène de la transthyrétine (TTR ; préalbumine). Elles font partie des maladies du repliement des protéines. Elles sont caractérisées sur le plan tissulaire par une coloration par le rouge Congo et un aspect en biréfringence jaune-vert en lumière polarisée.

Les neuropathies périphériques

Publié le : 01/03/2010

Les neuropathies périphériques sont des maladies bien plus rares que les maladies du système nerveux central (cerveau, moelle épinière) au premier rang desquelles la maladie d'Alzheimer, de Parkinson, les AVC, la SEP... ; l'imagerie radiologique y est de peu d'apport diagnostique. Elles sont plus fréquentes chez l'adulte et concernent environ 8 % des sujets âgés de plus de 65 ans. Elles méritent toutefois d'être connues car elles peuvent engager le pronostic fonctionnel et parfois le pronostic vital. Il existe une grande diversité dans ces affections et les étiologies sont nombreuses. Des progrès considérables ont été réalisés au cours des 50 dernières années permettant de reconnaitre les neuropathies périphériques, d'en préciser l'étiologie, de proposer un traitement symptomatique et plus récemment un traitement spécifique si possible.

Par: Romain MARIGNIER, Docteur Marignier Romain

Neuromyélite optique

Publié le : 01/09/2019

La neuromyélite optique est une maladie inflammatoire rare du système nerveux central dont la connaissance s'est considérablement étendue au cours des dernières années. Longtemps considérée comme une forme particulièrement grave de Sclérose En Plaques (SEP), on sait aujourd'hui qu'elle possède des caractéristiques physiopathologiques, cliniques, radiologiques, et biologiques propres, ainsi qu'une prise en charge thérapeutique différente de la SEP.

Par: Julie PIQUE, Docteur Pique Julie

Neuromyélite optique

Publié le : 01/09/2019

La neuromyélite optique est une maladie inflammatoire rare du système nerveux central dont la connaissance s'est considérablement étendue au cours des dernières années. Longtemps considérée comme une forme particulièrement grave de Sclérose En Plaques (SEP), on sait aujourd'hui qu'elle possède des caractéristiques physiopathologiques, cliniques, radiologiques, et biologiques propres, ainsi qu'une prise en charge thérapeutique différente de la SEP.

La sclérose en plaques en 2019

Publié le : 01/09/2019

La sclérose en plaques (SEP) est une pathologie inflammatoire et démyélinisante limitée au système nerveux central (SNC), première cause de handicap non traumatique chez l'adulte jeune. Elle touche en Franche 100 à 120.000 personnes, dont la majorité sont des femmes (sex-ratio 3/1) avec un âge de début moyen de 30 ans.

Par: Pierre SENERS, Docteur Seners Pierre

AVC phase aiguë et prévention : Quoi de neuf ?

Publié le : 01/09/2019

Les avancées récentes sur la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux à la phase aiguë concernent principalement les accidents ischémiques cérébraux (AIC) avec deux évolutions importantes : l'extension de la fenêtre thérapeutique des traitements de reperfusion et l'arrivée de nouvelles stratégies thrombolytiques.

Par: David CALVET, AIHP 1999

AVC phase aiguë et prévention : Quoi de neuf ?

Publié le : 01/09/2019

Les avancées récentes sur la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux à la phase aiguë concernent principalement les accidents ischémiques cérébraux (AIC) avec deux évolutions importantes : l'extension de la fenêtre thérapeutique des traitements de reperfusion et l'arrivée de nouvelles stratégies thrombolytiques.

Par: Sandra VUKUSIC , Professeur Sandra VUKUSIC

La sclérose en plaques en 2019

Publié le : 01/09/2019

La sclérose en plaques (SEP) est une pathologie inflammatoire et démyélinisante limitée au système nerveux central (SNC), première cause de handicap non traumatique chez l'adulte jeune. Elle touche en Franche 100 à 120.000 personnes, dont la majorité sont des femmes (sex-ratio 3/1) avec un âge de début moyen de 30 ans.

Par: Yves SAMSON,

Prise en charge des AVC : nouveautés et perspectives.

Publié le : 01/09/2016

Au cours des 15 dernières années, la prise en charge des Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC) a été transformée par la montée en puissance des unités neurovasculaires, les progrès de l'imagerie cérébrale en urgence notamment l'Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) et le développement de la thrombolyse intra-veineuse au cours des 4 à 5 premières heures pour les Accidents ischémiques Cérébraux (AIC).

Par: Jean-Yves DELATTRE, (AIHP 1985) PU-PH, Chef de service Service de Neurologie 2-Mazarin, Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière - Auteur correspondant

Présentation du dossier

Publié le : 01/09/2016

La Neurologie est entrée de plein pied dans l'ère thérapeutique. Il s'agit de soulager, de prévenir et parfois de guérir en gardant à l'esprit que les neurones détruits ne repoussent pas ou peu. Aucune thématique de notre discipline n'échappe à cet effort thérapeutique.

Biologie des glioblastomes

Publié le : 01/06/2013

Ces dernières années des progrès considérables ont été réalisés dans la compréhension des mécanismes moléculaires et cellulaires impliqués dans l'apparition, le développement et la résistance aux traitements des tumeurs cérébrales et en particulier des glioblastomes.

Par: David GRABLI, AIHP 1997

Maladie de Parkinson : quelles nouveautés en thérapeutique ?

Publié le : 01/09/2016

La maladie de Parkinson est définie comme une mort progressive des neurones dopaminergiques de la subtantia nigra. La caractérisation pathologique repose sur la mise en évidence d'inclusions cytoplasmiques riches en alpha-synucléine, les corps de Lewy. La dénervation dopaminergique du striatum (cible de la projection dopaminergique) est corrélée à la triade clinique définissant le syndrome parkinsonien et associant akinésie, hypertonie et tremblement de repos.

Prise en charge de la spasticité des patients atteints de SEP

Publié le : 01/09/2016

La spasticité se définit comme une augmentation du tonus musculaire se traduisant par une raideur musculaire persistante et/ou des spasmes à type de contracture d'apparition soudaine incontrôlable. Elle peut survenir au repos, mais aussi lors des mouvements et s'exacerbe avec la répétition du mouvement. Chez les patients SEP, elle touche plus souvent les membres inférieurs et va s'exprimer de façon variable, peu gênante dans certains cas ou se révélant au contraire très invalidante dans d'autre ; son évolution est imprévisible et soumise à des variations dans le temps chez un même individu.

Encéphalites autoimmunes

Publié le : 01/09/2016

Les encéphalites aigues sont définies par une inflammation du parenchyme cérébral se manifestant par la survenue de crises épileptiques, d'une confusion mentale et de troubles de la vigilance. Bien que les causes les plus fréquentes d'encéphalites soient infectieuses, notamment virales, l'étiologie reste indéterminée dans 40 à 60 % des cas. Les étiologies autoimmunes représenteraient 8% des causes d'encéphalite, mais les estimations actuelles sont probablement sous-estimées du fait de l'identification régulière de nouveaux autoanticorps.

Encéphalites autoimmunes

Publié le : 01/09/2016

Les encéphalites aigues sont définies par une inflammation du parenchyme cérébral se manifestant par la survenue de crises épileptiques, d'une confusion mentale et de troubles de la vigilance. Bien que les causes les plus fréquentes d'encéphalites soient infectieuses, notamment virales, l'étiologie reste indéterminée dans 40 à 60 % des cas. Les étiologies autoimmunes représenteraient 8% des causes d'encéphalite, mais les estimations actuelles sont probablement sous-estimées du fait de l'identification régulière de nouveaux autoanticorps.

Encéphalites autoimmunes

Publié le : 01/09/2016

Les encéphalites aigues sont définies par une inflammation du parenchyme cérébral se manifestant par la survenue de crises épileptiques, d'une confusion mentale et de troubles de la vigilance. Bien que les causes les plus fréquentes d'encéphalites soient infectieuses, notamment virales, l'étiologie reste indéterminée dans 40 à 60 % des cas. Les étiologies autoimmunes représenteraient 8% des causes d'encéphalite, mais les estimations actuelles sont probablement sous-estimées du fait de l'identification régulière de nouveaux autoanticorps.

Par: Ahmed IDBAIH, Université Pierre et Marie Curie-Paris 6 - Centre de Recherche de l\'Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière (CRICM), UMRS 975 - Inserm U 975 - CNRS, UMR 7225 - Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière, Service de neurologie 2-Mazarin

Biologie des glioblastomes

Publié le : 01/06/2013

Ces dernières années des progrès considérables ont été réalisés dans la compréhension des mécanismes moléculaires et cellulaires impliqués dans l'apparition, le développement et la résistance aux traitements des tumeurs cérébrales et en particulier des glioblastomes.

Par: Charles DUYCKAERTS, (AIHP 1977) PU-PH Laboratoire de Neuropathologie Raymond Escourolle, GH Pitié-Salpêtrière, Centre de Recherche de l\'Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière (CR ICM, UPMC UMR_S975, Inserm U 975, CNRS UMR 7225) et UPMC-Sorbonne Universités

La maladie d'Alzheimer : nouveautés et perspectives

Publié le : 01/06/2013

La maladie décrite par Alzheimer en 1907, associait une démence et des lésions cérébrales : les dégénérescences neurofibrillaires (agrégats de protéine tau anormalement phosphorylée) intra-neuronales, et les plaques séniles (formées, dans leurs formes matures, d'un coeur de peptide Aβ amyloïde extracellulaire, entouré d'axones et de synapses en dégénérescence comportant des agrégats de protéine tau anormalement phosphorylée). Elle n'a pas de traitement curatif. Des formes précoces surviennent avant 60 ans, voire 40 ans (où s'observent la majorité des très rares cas génétiques autosomiques dominants). A partir de 60 ans, la prévalence des démences augmente de façon exponentielle ; elles touchent un tiers des personnes de plus de 90 ans (total estimé à 850 000 en France). Seule, ou associée à d'autres causes, la maladie d'Alzheimer serait responsable de 70 à 80 % d'entre elles.

Complications neurologiques induites par les traitements anti-cancéreux

Publié le : 01/06/2013

Les cancers sont devenus la première cause de mortalité dans les pays industrialisés et devancent maintenant les maladies cardio-vasculaires. Environ 350000 personnes sont affectées par un cancer chaque année en France avec une mortalité qui avoisine les 150000 par an (1). Cette différence entre incidence et mortalité témoigne d'une meilleure efficacité des traitements actuels (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie et thérapies ciblées) avec une proportion en constante augmentation des survivants à long terme. Ainsi, le risque de mortalité par cancer a diminué de 25 % au cours de 30 dernières années. Le revers de la médaille est une augmentation importante du nombre de patients affectés par des complications des traitements, notamment des complications neurologiques qui viennent en seconde position après les complications hématologiques et qui ont la caractéristique de pouvoir survenir parfois très tardivement (de nombreuses années) après le traitement et de manière souvent irréversible. Les complications neurologiques des traitements anti-cancéreux sont responsables de séquelles altérant la qualité de vie pendant le traitement du cancer et après le cancer. Il devient indispensable de proposer aux patients une prise en charge spécifique et personnalisée.

Par: Nicolas WEISS, AIHP 2001

Complications neurologiques induites par les traitements anti-cancéreux

Publié le : 01/06/2013

Les cancers sont devenus la première cause de mortalité dans les pays industrialisés et devancent maintenant les maladies cardio-vasculaires. Environ 350000 personnes sont affectées par un cancer chaque année en France avec une mortalité qui avoisine les 150000 par an (1). Cette différence entre incidence et mortalité témoigne d'une meilleure efficacité des traitements actuels (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie et thérapies ciblées) avec une proportion en constante augmentation des survivants à long terme. Ainsi, le risque de mortalité par cancer a diminué de 25 % au cours de 30 dernières années. Le revers de la médaille est une augmentation importante du nombre de patients affectés par des complications des traitements, notamment des complications neurologiques qui viennent en seconde position après les complications hématologiques et qui ont la caractéristique de pouvoir survenir parfois très tardivement (de nombreuses années) après le traitement et de manière souvent irréversible. Les complications neurologiques des traitements anti-cancéreux sont responsables de séquelles altérant la qualité de vie pendant le traitement du cancer et après le cancer. Il devient indispensable de proposer aux patients une prise en charge spécifique et personnalisée.

Complications neurologiques induites par les traitements anti-cancéreux

Publié le : 01/06/2013

Les cancers sont devenus la première cause de mortalité dans les pays industrialisés et devancent maintenant les maladies cardio-vasculaires. Environ 350000 personnes sont affectées par un cancer chaque année en France avec une mortalité qui avoisine les 150000 par an (1). Cette différence entre incidence et mortalité témoigne d'une meilleure efficacité des traitements actuels (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie et thérapies ciblées) avec une proportion en constante augmentation des survivants à long terme. Ainsi, le risque de mortalité par cancer a diminué de 25 % au cours de 30 dernières années. Le revers de la médaille est une augmentation importante du nombre de patients affectés par des complications des traitements, notamment des complications neurologiques qui viennent en seconde position après les complications hématologiques et qui ont la caractéristique de pouvoir survenir parfois très tardivement (de nombreuses années) après le traitement et de manière souvent irréversible. Les complications neurologiques des traitements anti-cancéreux sont responsables de séquelles altérant la qualité de vie pendant le traitement du cancer et après le cancer. Il devient indispensable de proposer aux patients une prise en charge spécifique et personnalisée.

Par: Pascal MASNOU, (AIHP 1981) PH, service de Neurologie- Hôpital Bicêtre, GHU Sud

Actualités thérapeutiques dans l'épilepsie

Publié le : 01/03/2010

Le 21ème siècle a vu augmenter le nombre des traitements antiépileptiques de façon considérable. Seulement 4 médicaments anti-épileptiques existaient avant 1960. Actuellement plus d'une dizaine de nouveaux médicaments anti-épileptiques sont à notre disposition. Les molécules d'ancienne génération sont représentées par le phénobarbital et la phénytoine, les molécules de deuxième génération regroupent la carbamazépine et le valproate de sodium, les molécules les plus récentes : felbamate, gabapentine, lacosamide, lamotrigine, lévétiracetam, oxcarbazépine, pregabalin, topiramate, vigabatrin, zonisamide sont dites de troisième génération. Le développement de ces nouvelles molécules est le résultat de l'amélioration de la compréhension des mécanismes de l'épilepsie permettant la création de médicament ayant un mécanisme d'action ciblé. La plupart des traitements anti-épileptiques modulent les canaux ioniques (Na+, Ca+, Cl-) dont l'ouverture a un effet excitateur ou inhibiteur. Certains modulent la libération de neurotransmetteurs excitateurs (glutamate) ou inhibiteurs (GABA). En réalité, le mécanisme d'action précis de chaque anticonvulsivant reste à élucider dans la plupart des cas.

Par: Jerôme BLIN, AIHP 1981 - MD, PhD

La maladie d'Alzheimer

Publié le : 01/03/2010

La maladie d'Alzheimer bénéficie depuis plusieurs années dans de multiples domaines de la révolution des neurosciences que nous vivons. Cette révolution a profondément modifié notre regard sur la maladie et la prise en charge des patients et de leur famille. Un bref historique nous donnera une idée du chemin parcouru et nous aidera à imaginer les voies qui pourront demain être explorées. En effet l'avenir nous impose de relever de nombreux défis pour faire face à cette épidémie. La maladie d'Alzheimer offre des opportunités encore récemment inimaginables pour les neurologues de participer à la recherche et d'intégrer ses résultats dans de nouvelles pratiques scientifiques, médicales et éthiques pour les patients, leur famille et la société qui les entoure.

Par: Caroline PAPEIX, (AIHP 1995) AP-HP, Groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière

Les traitements de fond de la sclérose en plaques

Publié le : 01/03/2010

Depuis une quinzaine d'années, la prise en charge thérapeutique de la SEP a été considérablement modifiée et il est vraisemblable que les cinq prochaines années soient de nouveau marquées par un enrichissement important de notre arsenal thérapeutique. Cette affirmation enthousiaste doit cependant être tempérée, l'immense majorité des développements thérapeutiques en cours ayant pour objectif commun de lutter contre l'inflammation auto-immune périphérique (en dehors du système nerveux central). Il est cependant clair qu'une partie (la majeure partie ?) du handicap neurologique qui s'accumule au cours de la maladie, en particulier lors des phases progressives, n'est pas directement une conséquence de l'auto-immunité périphérique, mais implique des mécanismes de neuro-inflammation autonome confinée au SNC et/ou des mécanismes neurodégénératifs. L'avenir thérapeutique de cette maladie passera donc nécessairement par le développement de traitement ciblant ces mécanismes, perspectives non clairement accessible à court terme.